dimanche 27 novembre 2011

Photos de novembre...

Quelques photos de l'ile du Château et de Mayes...


Ancien débarcadère à mouton sur l'ile Château


L'envol du Chionis...

... plus communément surnommé "Pougeon" (mi-poulet, mi-pigeon)

...et de son nom officiel français "Petit Bec-en-fourreau", on voit ici pourquoi.


L'ile château doit son nom à sa topographie, il y en a qui on vu un château là dedans... Faut avoir de l'imagination. En haut, surexposé au vent et aux précipitations, les cailloux sont recouvert de lichens et on domine une grande partie du Golfe.

Pas de cabane sur l'ile château. Seulement de vieilles caisses en bois assurant un semblant d'abri au vent et le reste des clôtures du temps où il y avait des moutons. Les clôtures seront définitivement démontées cet été.


Gorfou sauteur

L'arche de Mayes est une toute petite voute située sur la cote nord de l'ile entre les 2 lacs. La vue est imprenable sur l'entrée du bars Jules laboureur




Le lac des cracous, est le 2nd lac de Mayes. Nous ne lui connaissons pas de nom officiel, mais comme plein de petits coins sur Mayes, on lui en a trouvé un. Il a été baptisé ainsi en référence au cracou (Pétrel géant) qui niche à coté le long des barre rocheuses. Au fond, l'ile Australia.



Le magnifique lac de skua-tropez, le 1er lac de mayes. Skua-tropez parce qu'il y a un club de non reproducteurs de skua (une bonne 50aine) qui traine toujours sur la rive où il y a en été une petite "plage" de sable noir.


Cette plante (vert clair) est endémique de Kerguelen. Elle pousse en coussin, comme l'azorelle (vert foncé). Comme on le voit, les coussins sont parfois composé des 2 espèces qui s'entendent alors bien et forme chacune leur moitié de coussin. Cette forme leur permet de résister au vent.


Un papou dans l'eau qui nous a offert un festival de cabriole dans quelques centimètres d'eau avec un congénère. Encore un bon souvenir en compagnie de Thibaut.





Femelle du canard d'Eaton, en ce moment (novembre) toute sur œuf ou presque. Le nid est un nid de canard comme on les connait : plein de duvet sous un porche de végétation, graminée introduite ou aceana. On ne les trouve qu'en mettant le pied a quelques centimètres de la cane qui s'enfuit alors en simulant une blessure a l'aile afin de nous éloigner du nid. Lorsque le soleil tape, elle recouvre minutieusement ces œufs de duvets avant d'aller piquer une tête sur le bord de mer ou dans le lac le plus proche. Le mâle n'est jamais loin, il monte la garde de son "trut" fluté et roulé à la manière du Canard pilet.


Mâle d'Eaton (noter les scapulaires "à la pilet")

Un Plon-plon, bagué de frais...


Depuis les hauteurs de Mayes

Zone d'étude des terriers de pétrels et autres prions


Skua devenu...

... et Skua en devenir !
(si si, la petite boule de duvet au pied du caillou là)